Encerrado en el estudio

Et pourtant, il est un domaine, populaire par excellence, que vous n'abordez que de très loin, la musique ?



Je peux écrire sur la danse, la peinture, la philosophie, mais c'est vrai que j'ai du mal à écrire sur la musique. Ecrire des choses justes sur la musique c'est vraiment un grand art, Barthes y arrive très bien. Mais je crois que ça viendra. J'aime beaucoup par exemple l'électro allemande, house, minimal house, comme Modeselektor... C'est quelque chose qui est difficile à décrire, je comprends qu'on puisse dire que danser cette musique c'est un peu la raconter, l'interpréter, l'analyser. Même si j'aime beaucoup danser dessus, j'aimerais vraiment pouvoir l'écrire. D'autant que j'écoute beaucoup de musiques, je continue à acheter des disques. Je suis peut-être complètement anachronique.

http://www.evene.fr/livres/actualite/alan-pauls-le-passe-histoire-des-larmes-bourgois-2016.php?p=1

http://www.evene.fr/livres/actualite/alan-pauls-le-passe-histoire-des-larmes-bourgois-2016.php?p=2


Hasta que logre explicarme cómo nace y se desarrolla el sentimiento de pertenencia que producen (al menos en mí) las historias que cuentan detalles acerca de la grabación de un disco, el programa de Costello, por ejemplo, y por qué las anécdotas (incluso los comentarios del celador del estudio de grabación) alimentan la ilusión de "hacer parte" -¿del proceso creativo?¿de la banda?- voy a canalizarme y terminar de dar forma a mis lecturas
 

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